Qui sommes nous ?

Le bureau

Guillaume BLANCHARD – Président – president@anumme.fr
C’est en janvier 2019 que je suis devenu wheeler. Je possède 3 gyroroues et me déplace quasiment exclusivement en gyroroue pour aller au travail, faire mes courses, voir des amis, aller sur des lieux de loisirs, etc.
Je suis très attaché au respect des droits des utilisateurs d’EDPM, et souhaite m’investir pour cette cause qui me tient à cœur. Je voudrais notamment qu’on puisse utiliser les EDPM à des vitesses adaptées au contexte, et parvenir à une solution pour autoriser les déplacements entre villes.

 


Laurent

Laurent PHILIPPE – Trésorier – tresorier@anumme.fr
C’est à l’occasion de mon emménagement en 2015 que je me suis intéressé aux Engins de Déplacement Personnels Motorisés et particulièrement les gyroroues qui m’ont attiré d’emblée. Séduit par leur taille compacte et leur capacité à se faufiler partout, j’en suis vite devenu adepte au point d’en faire usage au quotidien comme pour de plus “grandes” balades. Convaincu de la légitimité de nos engins électriques légers pour les déplacements urbains et même au-delà, je m’inscris complètement dans leur promotion par le biais de mon engagement à l’ANUMME.

 


Sylvain

Sylvain SAUVADE – Secrétaire contact@anumme.fr
Wheeler depuis 2021, je possède actuellement deux gyroroues.
Pour moi les déplacements en EDPM sont liés au plaisir, je roule en forêt, à la montagne et sur route.
Rejoindre l’ANUMME a été naturel afin de partager mes convictions car nous avons des choses à faire bouger et des gens à rassembler.


 

 

Le conseil d’administration

Denis

Denis BLOMME
En 2016 j’ai vu passer un homme debout sur une roue et cela m’a énormément intrigué. Je me suis donc mis à la recherche d’informations sur cet engin, à travers les forums de discussion, et l’ai peu à peu découvert. En septembre 2017 je prenais ma première demi-heure de formation et deux séances plus tard j’avais ma propre gyroroue. Je l’utilise régulièrement pour aller effectuer des petites courses dans un rayon de 15 kms autour de chez moi plutôt que d’utiliser ma voiture, et également lors de randonnées entre amis. Étant en lointaine banlieue je suis donc très concerné par ces futures dispositions car contraint de circuler hors agglomération. Je souhaiterais que les routes départementales nous soient autorisées en l’absence de voie verte ou piste cyclable, inexistantes autour de chez moi.

 


AnicetAnicet BOCCI
Wheeler depuis 2018, j’ai été très vite séduit par la praticité et l’ergonomie que propose ce moyen de déplacement, notamment dans le cadre de l’intermodalité, et plus précisément du train, que je prends quotidiennement.
Les EDPM et leurs bénéfices méritent à mon sens plus de crédibilité auprès du grand public. Cette crédibilité passe par l’établissement d’une réglementation cohérente, adaptée, et respectée autant par les utilisateurs d’EDPM que par les autres usagers de la route. Je m’inscris dans cette dynamique, afin également que les EDPM puissent un jour circuler au-delà de 25km/h et hors agglomération dans de bonnes conditions !

 


MathieuMathieu JOURDE
Depuis des années je voyais passer des personnes en gyroroues/monoroues. Puis en 2019 j’ai sauté le pas : quelques vidéos sur youtube, une promotion alléchante sur internet pour une petite roue, j’ai craqué. L’apprentissage tout seul n’est pas facile, mais on finit par dompter la bête et tomber amoureux : une sensation d’avoir une extension de soi, de skier, de voler parfois. Sans compter la compacité, discrétion et efficacité pour avoir toute la ville à quelques minutes, quel gain de temps ! Puis la première loi mobilité s’est profilée…et là c’est la douche froide. J’adhère à l’Anumme dès sa création, espérant que cette association va pouvoir défendre les droits des utilisateurs. C’est le cas, mais on est peu entendu. Il y a encore du travail, et un nombre d’adhérents à faire grossir pour avoir une voix qui porte.

 


BriceBrice PERROTIN
Je participe à l’association pour la reconnaissance et la croissance de la micro-mobilité.
Conscient du problème planétaire de la prolifération du véhicule individuel “lourd”, j’ai réduit mon impact écologique en passant au 2 roues thermique, puis électrique et, en 2022 j’ai adopté la monoroue pour mes déplacements quotidiens et mes voyages en train (ou en covoiturage).
Dans le secteur des transports, la micro-mobilité coche presque toutes les cases, en particulier en zone urbaine, d’où son succès rapide. Mais il reste à fédérer tous ses usagers pour assurer la croissance de ce mode de transport “léger” au niveau national et européen. Car son existence-même est remise en question par des décisions politiques sans consultation.